Are you really here
or am I dreaming
I can't tell dreams from truth
for it's been so long
since I have seen you
I can hardly remember
your face anymore
When I get really lonely
and the distance causes our silence
I think of you smiling
with pride in your eyes
a lover that sighs

if you want me satisfy me....

Bouteille lancée à la mer
Chronique d'un espoir éphémère.

Oui, je suis en colère. C'est un fait.
Non, je ne suis pas égoiste.
Je suis juste perdu.
Je suis content pour toi, même si je n'arrive pas à le montrer.
Je souhaite vraiment que ca marche.
Oui, j'en suis jaloux.
Mais pas pour les raisons que tu peux croire.
Tout ce que l'on a tissé depuis ces derniers mois me suffisait.
Je n'en ai pas besoin de plus.
Mais j'avais juste espérer de pas si vite en avoir moins.
Mais celà, je ne peux te le dire.
Je n'ai pas le droit de jouer les troubles fêtes.
Il t'apportera j'espère ce que je ne peux t'offrir.
J'ai mal et mais je crie en silence.
Fait ton chemin comme tu le souhaites mais n'oublie pas de te retourner de temps en temps.

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Sans compter que maintenant, je me suis isolé.
Volontairement, je sais.
Elle me manque, mais je n'ai pas le droit de me plaindre.
Des vieux démons reviennent me hanter.
J'ai peut être fait une erreur.
J'espère juste qu'il n'est pas trop tard.
Deux ans et demi.
Ca parait si court. Et pourtant, j'ai l'impression d'y jouer maintenant le reste de ma vie.
P.a.t.h.é.t.i.q.u.e.

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Chute dans un chemin.
Espoir sans lendemain.

Incendie ténébreux
Brule à petit feu
Cette forêt silencieuse
Douleur délicieuse.

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Bon eh bien il paraît que je dois raconter sept de mes secrets les plus inavouables. C'est con parce que j'ai beau avoir passer toute la soirée à chercher, je n'ai pas arrêté de retomber sur ce chiffre, six. Oui, il m'en manque un. Je suis deg. Et puis d'abord, pourquoi sept ? Pourquoi pas six ? Bon eh bien vas pour six de mes secrets....

• La détresse humaine me fascine. La complexité des rapports que chacun entretient avec autrui, qui souvent conduisent à des situations inextricables m'intrigue. Qu'est ce qui fait la nature d'une personne ? Sa capacité à résoudre ses soucis du quotidien. A refouler sa part sombre. C'est cette partie de l'homme qui me fascine. Essayer de trouver, de deviner ce que cache chaque personne au fond de soi. Les gens normaux ne m'intéressent pas. Trop commun. C'est en essayant de comprendre les gens, en essayant de les aider que petit à petit je me comprends moi même. L'humanité est une bête à terre dont l'organisme se refuse à le laisser se relever. J'ai envie de savoir pourquoi.

• Il fut un temps, ou je voulais devenir médecin légiste. La mort m'a toujours fasciné au plus haut point. Pour moi, la beauté de l'homme ne s'arrête pas au moment où il casse sa pipe. Un cadavre me paraît tellement plus serein, plus épanoui que l'être humain lorsqu'il marche encore. J'ai toujours voulu savoir comment on retourne à la poussière pour qui sait un jour découvrir ce qui se cache après la mort.

• J'ai vu quelqu'un mourir. Agoniser à petit feu. Le voir s'en aller, avec plus aucun contrôle sur sa propre existence. Depuis, je me suis juré que je ne finirais pas ainsi. J'ai vu par la même occasion les masques tomber, révélant la vraie nature de l'entourage du défunt. Des non-dits qui reviennent au galop, des vérités pas forcément bonnes à dire. Une souffrance ajoutée à la souffrance. C'est pour cela, que je me suis toujours obligé à être franc envers les gens. Quitte à être blessant. Ainsi, je ne surprendrais jamais personne.

• J'essaie d'apprendre la langue des signes. Quand j'étais petit la langue de signes était pour moi une matière en plus à apprendre à l'école. Aujourd'hui, je regrette de ne pas l'avoir appris plus tôt car je la considère comme une chance. Apprendre une langue à l'âge adulte n'est pas forcément chose aisé. Surtout la LSF. Mais j'y arriverai (un jour peut être !!

• Je suis cynique. Parfois trop. C'est ma manière de me protéger. D'éviter les coups de blues pour des futilités. Cette été, j'ai « brisé » la vie à pas mal de gens à la banque. Les considérer comme des chiffres était pour moi un moyen d'ôter toute humanité à ma tâche. De la transformer en une machine. Et puis d'abord, être fiché à la banque de France n'est pas une dure finalité en soi. Ça évite au gens de partir en vacances à la mer. Le bronzage c'est mauvais pour la peau d'abord.

• Je considère la religion comme une moyen de régression sociale. Pour moi, mettre sa foi dans quelque chose d'immateriel, sur lequel on a aucun contrôle, c'est ne pas avoir assez confiance en soi pour s'en sortir seul. S'en remettre alors à quelqu'un que l'on considère comme parfait. C'est faire preuve ainsi d'une incapacité à faire face. Pour autant, je ne suis pas athée, mais agnostique. Pour moi il n'y a pas de Dieu à proprement parler, mais quelque chose qui fait bouger les choses dans cette Univers. Quelque chose qui était la au début. Mais sur qui l'on a aucune influence quand bien même on serait aller se confesser plus d'un millier de fois pour expier ses fautes. Ainsi, je refuse que mes enfants soient baptisés avant d'être en âge de comprendre la portée de cet cérémonie. Je me refuse à aller à la messe où un équivalent dans les autres religions. Je ne suis pourtant pas renfermé sur mes propres « croyances ». Les religions en tant que philosophie sont quelque chose d'intéressant à contrario.

Saut dans le noir
Une étoile s'éveille
Chute sans fin
Monde sans merveille

Pleurs silencieux
Anges capricieux

Errance dans la nuit
Par delà l'infini.

Many

Cette été, j'ai brisé la vie de pas mal de gens. Limite, si les gens à qui j'ai fait du "mal" savaient qui j'étais, mon espérance de vie aurait été réduite à quelques semaines. Ca m'aurait laissé au moins le temps de regarder le début de la coupe du monde de rugby (...j'oubliais, je n'aime pas le rugby). Par ailleurs, étant astreint au secret professionel, je ne peux hélas divulger la nature de mon travail car je serais dans l'obligation hélas d'avoir alors à vous tuer petit internaute que vous êtes.

Bon d'accord, c'était pas drôle! :p

Mois de juillet : Trieur dans un centre de tri d'une filiale de La Poste chargé de l'acheminement de la presse à domicile.
Mois d'aout : Agent au Service DAJ Contentieux du CIC-Crédit Mutuel.

Y'a pas à dire, mon statut du mois d'aout à plus de classe...

Dix Septembre. GameOver...même joueur recommence.

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1. Mettre votre lecteur audio sur «Aléatoire» (AKA Shuffle).
2. Peser suivant à chaque question.
3. Utiliser le titre de la chanson pour répondre à la question, même si cela ne fait aucun sens. Ne trichez pas!
4. Essayer de trouver un sens entre la question et la chanson.
5. Passer le test à cinq personnes.
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• Comment te sens-tu aujourd'hui ?

The Fray [How to save a life] : Comme une envie de me jeter dans le brasier d'un immeuble en feu pour aller sauver le monde entier. Ou pas....^^

• Iras tu loin dans la vie ?

The Rakes [Open Book] : Assez loin pour prendre le bouquin sur l'étagère d'en face du canapé et pour revenir y poser mes fesses pour le reste de la soirée...

• Comment tes amis te percoivent-il ?

Tristania [Evenfall] : Parait que je suis un gothique parce que j'parle de la mort sans tabou...bon ok, j'essaierais de consulter un psy un jour. Promis.

• Quel est la chanson de ta/ton meilleur(e) ami(e) ?

Tristania [The beauty of a witch] : Cool, une chanson sans parole !!^^ ...Ca tombe bien parce que j'ai pas de meilleur ami. Ca sert à rien et puis ca coute cher à entretenir ! (ah bon on parle pas du chien, le meilleur ami de l'homme ???)

• Quel est l'histoire de ta vie ?

Vivaldi [Les quatres saisons/L'hiver] : Punaise de marchmalo !! Il caille trop... à quand le printemps ?

• Comment était le lycée ?

Within temptation [The Cross] : Un vrai chemin de croix ce bac ! Il a fallu que je révise une semaine avant le début...honte à moi ! Bon d'accord la chanson est pas gaie, mais le lycée c'est mes plus belles années quand même...enfin je crois !!^^

• Qu'est ce qui te motivera à aller de l'avant ?

R.E.M [Losing my religion] : De savoir que rien de ce que je dois faire n'est écrit dans un livre. Savoir que je nage dans l'inconnu !

• Quelle est la meilleur chose chez tes amis ?

Rammstein [Sonne] : Bah comme le dit si bien la chanson, Hier kommt die Sonne !! ^^ (enfin parfois seulement)

• Qu'est ce qui est en vente ce week-end ?

Ska-P [Cannabis] : Euh...joker ?? (Bon ok je sors...)

• Comment va ta vie en ce moment ?

Arcade Fire [No cars go] : En velo toujours ! Toujours mieux que la voiture, en plus on peut se faufiler n'importe ou...(vive le vélib qu'il faudrait que je teste quand même un jour !)

• Quelle chanson jouera t-on à tes funérailles ?

The Who [Baba O riley] : Les paroles se suffisent à elle même. Puis l'intro est suffisament longue pour laisser les gens pleurer avant ! :p

• Que pense tes amis réellement de toi ?

CSS [Alcohol] : Que j'ai pas besoin d'alcool pour être allumé ? L'ennui suffit !^^

• Est-ce que quelqu'un t'aime secrètement ?

Billy Talent [Nothing to lose] : Impossible, j'aime être détestable alors c'est pas possible. Bon doit y avoir des maso, mais ca c'est hors catégorie.

• Comment peux tu te rendre heureux ?

Aaron [U-turn (Lili)] : D'aucune manière possible...de toute façon, je vais bien ne t'en fait pas.

• Que devrais tu faire dans la vie ?

Nightwish [Bye bye Beautiful] : Dire au revoir à la vie de la plus belle façon qui soit....en la vivant à fond.^^

• Auras tu des enfants ?

P.O.D [Alive] : Autant que je pourrais en avoir, des dizaines, des centaines, des milliers....quand je serais enseignant..^^
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Many : 1ère médaille...

J'ai écouté les résultats. Scrupuleusement.
Mais lorsque le verdict est tombé pour moi, je n'y ai pas cru.
Je suis resté là, à méditer.
Je ne suis pas sur d'avoir réellement écouté les autres résultats.
Puis, je suis allé voir le jury. Savoir ce qu'il avait à dire sur moi.
Être sur de ce que j'avais entendu.

"Bonne musicalité. Bonne interprétation du morceau, excépté mon accident d'émotivité".

Je reviens de loin. Cet accident d'émotivité, comme ils avaient appelé ça, m'avait donné la certitude que l'examen était fini pour moi. J'en était ressorti les larmes au yeux, avec le besoin d'aller prendre l'air, me changer les idées. Comment avais-je pu faire cette faute que je n'avais jamais fait avant ? Sur le coup, je me suis bloqué net. Je n'ai pas continué à jouer. Je n'ai rien fait. Puis je suis reparti dans le morceau, essayant d'oublier cet accident d'émotivité.

"Tu ne nous refait plus jamais çà !" m'a dit un des membres du jury. Promis. Vu l'état dans lequel ca m'a mis, je ne me risquerai pas à recommencer....

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...ce qu'il ya de déconcertant lorsque l'on parle de politique, c'est qu'on ne sait jamais qui l'on va vexé, énervé, irrité lorsque l'on commence à en parler [Dixit "Big Fish"]. Ce qu'il y a de bien à la fac, dans ma filière, c'est qu'on en a rien à foutre, et qu'on en parle malgré tout. Mais pas ici...à tout les coups, chanceux comme je suis je vais me rammasser le commentaire d'un UMPiste, de toute facon il suffit pas d'aller bien loin pour savoir pour qui j'ai voté....(couleur quant tu nous tiens...) Puis de toute façon moi, les discutions politiques, c'est comme à la télé, je préfère avoir l'interlocuteur devant moi. Sinon c'est pas drôle.

Je me rappelle en pleine crise du CPE, avec des amis on s'était dit qu'on allait créer un nouveau parti : le PRAF !!

Parti Révolutionnaire Avec des Fleurs (c)

Il y a deux sortes de gens dans ce monde, ceux qui croient en l'Utopisme, et les autres (dixit Jesus Camp à un mot près...)

Ca, c'est fait...

Comme une envie (taille XXL) de me reposer.

Encore. Alors que je ne devrais pas.

Dehors il fait beau. Très beau même. Trop beau.

Je devrais me poser dans mon hamac. Lire

Surtout que là, des bouquins, j'en ai à la pelle, à lire.

Mais j'me suis trop reposer. Hélas.^^

La rentrée arrive, et avec elle arrive aussi les exams.

J'adore la fac. ^^

Et merde, demain, il fait encore beau.

Après demain, ca sera la fin du monde...ou pas.

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Envie d'aller au Starbucks m'acheter
un scone aux noix et au sirop d'érable...

"Les souvenirs...un receuil de pages au nombre infini et dont chacune est indéchirable."

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On ne vit pas dans le passé...il parait. Moi en tout cas, je vis à coté de lui. Je suis arrivé dans cette maison à l'âge de six ans. A coté, il y avait une voisine et F. sa fille de trois mois ma cadette. Si vous vous attendez à une belle histoire d'amitié ou d'amour, j'ai le regret de vous annoncez que vous pouvez passer votre chemin.

Nos relations ont connu divers stades. Jusqu'au collège, on se parlait peu, on se fréquentait peu. C'était une fille et à cette ma soeur faisait meilleure compagnie. Puis peu à peu, on a appris à se connaître, et si la plupart du temps, on discutait de part et d'autre d'un grillage, il fallait attendre l'été pour que l'on puisse vraiment sortir, et s'amuser dans le quartier. On faisait tout et n'importe quoi. On faisait ce que les enfants savent faire de mieux. C'est l'époque ou mes jeans revenaient troués de partout, traces de mes aptitudes exceptionelles en roller.

Puis les choses évoluèrent, avec l'arrivée de mon chien. Je sortais tout les soirs le promener. Seul, car ma soeur était alors trop petite pour se promener sans aucune compagnie. Mais la solitude a bien vite laissé la place à quelqu'un d'autre. Pendant quelques années, F. et moi, nous parcourions le quartier, moi promenant mon chien, elle en fumant sa cigarette, nous en discutant de tout et de rien. Si l'on prenait la peine de faire un grand tour de quartier l'été, l'hiver racourcissait notre envie de rester dehors... On ne se voyait qu'une petite demi heure chaque jour. Pas plus, mais personnellement, cela me suffisait.

Un jour, un camion de pompier arriva chez elle, puis une ambulance. Sa mère venait de mourrir. Je n'en dirais rien de plus si ce n'est que l'unique fois que l'on s'est revu après cet évènement, c'était la veille de son départ de la ville. Elle déménagea. Cela fait maintenant plus de trois ans. On ne s'est plus revu.

Hier, j'ai tenté de reprendre contact avec elle. Répondeur. Je lui ai laissé un message. Maintenant j'attends. Peut-être aurai-je une réponse...ou pas. Mais depuis, je ne vais plus me promener dans mon quartier.

C'est parti d'une connerie. Comme d'habitude en fait. La veille du dernier jour, les vacances étaient déjà bien ancré dans nos têtes. Mais il y avait un nuage à l'horizon. Le cours de mécanique quantique du lendemain. Ces trois longues heures qui nous séparaient de nos jours de repos bien mérité. Sur un coup de tête, on a proposé à l'un d'entre nous d'rapporter un gateau. Un autre a embrayé avec les boissons... et au final, le lendemain, après la première heure et demie de cours, à la pause, on a sorti les gateaux, les boissons, les verres et l'on s'est mis pour ainsi dire à l'aise. Les profs étaient conviés bien sûr sans arrière pensée...

...car après tout, ce n'était pas aujourd'hui qu'ils devaient nous rendre les notes de Physique expérimentale ?

Je n'ai pas arrêté. J'ai noirci, noirci des pages
et des pages. Sans discontinuer. Jusqu'à main-
tenant. Jusqu'à ce que ma main n'ai plus la
force de tenir le stylo. De temps à autre, des
larmes venaient illustrer mes écrits. J'en avais
besoin. Ecrire. C'est tout ce qui me reste. A
cet heure-ci, rares sont les gens qui ne dorment
pas encore. Et puis téléphoner ? Oui, mais pour
dire quoi.

Il n'y a que ma lampe de bureau d'allumée. Dans
l'obscurité, j'ai l'impression d'être minuscule dans
cette chambre immense. Invisible.

Mais aux yeux de qui ne le suis-je réellement pas ?
J'aimerais tant avoir une foule de nom à citer, mais
ca n'est pas le cas.

Je crois que je vais retourner écrire encore. Ecrire
jusqu'à ce que l'obscurité m'enveloppe et me jette
dans les bras de Morphée.

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Et voilà, l'anglais est enfin bouclé, après cinq heures passé à la fac pour finaliser notre projet. On verra bien mardi ce que cela donnera. J'ne me fait pas trop de soucis. Le seul hic ? Un risque de pouffage de rire toute les dix secondes. Le sujet du projet ? Une semaine à la fac, sous forme de roman photo présenté sur Power Point, avec un générique de début épique comme il se doit pour finir par un générique de teenage movie...

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Neuf heure et demie. Je suis dans le train. Direction le Salon du livre, tant attendu !
Et parce que j'ai envie de me vider mon porte feuille plus vite que prévu, je m'achète une besace en cours de route afin de remplacer l'ancienne vieillissante.
Et parce que je ne suis pas pressé d'y arriver, je fait un gros détour pour prendre le fameux nouveau tramway des maréchaux.
Puis petit tour de Paris tranquille.
Un conteur du Salon du livre, lit une histoire dont je pige que dalle.
Arrivé onze heures.
Amelie dédicace à quatorze heures.
J'ai trois heures devant moi, et pourtant je préfère commencer à faire la queue.
Il n'y a qu'une dizaine de personne devant moi.
Des excentriques (comme mwa), des tarés (comme mwa), des gros fans (comme mwa), des gothiques (euh..pas comme moi ^^)...des gens simples quoi.
Midi, la file est déjà immense. Encore deux heures.
Puis 13h.
13h40. Amelie arrive.
Mon tour arrive aussi.
Elle me reconnait (content !!^^), on discute vite, et je repart avec ma tite dédicace en vert.
Petit tour ensuite par les éditions jeunesses.
Retrouvaille avec un livre de mon enfance (et un poster en prime).

Dix huit heures départ.

PS : Puis, depuis avant hier, ca fait deux ans. Et deux ans...ca se fête...

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Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Etre une femme libérée tu sais c'est pas si facile

Eh ouais, aujourd'hui c'est la journée internationale de la femme. Pendant ce temps là, des femmes sont encore battues, des femmes sont encore violées, des femmes sont encore traités comme des sous merdes, et j'en passe. Bref, journée ordinaire au final. Donc pas vraiment utile cette journée de la femme pour moi. Faire un bilan ? De quoi ? Rien, puisque la lutte n'est pas fini. Donnez une journée à la femme, c'est donc assez réducteur pour moi, sachant que cela voudrait dire 364 journées pour l'homme. Mais bon, allez pas croire que j'sois misogyne, bien au contraire...la preuve....

Femmes... Je vous aime
Femmes... Je vous aime ^^

Comme tout garçon qui se respecte, je deteste aller faire les magasins. J'aimerais pouvoir dire que c'est pour faire plaisir à mon compte en banque, mais hélas, ca n'est pas le cas. C'est juste que :

-J'aime pas quand y'a du monde.
-J'aime pas quand les vendeurs vous tourne autour trop content de vous écoutez lorsque vous leur posez une question (j'leur en veux pas, faut bien gagner des sous !)
-J'aime pas trouver quelques jours plus tard la même chose ailleurs mais moins cher. (Je suis radin !^^)
-Je suis du genre à mettre trois plomb à choisir ce que je vais acheter (je vais mettre ca sur le compte de l'influence féminine du au sortie avec mes 2 4 8 5 9 cousines tout en étant l'un des deux seuls gars)

Heureusement pour cela, il existe un remède : Internet.

Avantage : Pouvoir faire du shopping en chaussette sans choquer personne.
Inconvénient : Bah...ca coute pas forcément moins cher.

L'été approche, je vais pouvoir gagner des sous !^^

-Tu sens le Malibu !
-Nan
-Si je te dis que tu sens le malibu !
-J'suis juste en train de manger un chocolat à la noix de coco !
-Ah....(ca y est, j'suis grillé là !!!)

...

...
...

Un jour, quelqu'un à dit, je me rappelle plus trop qui d'ailleurs (si vous voulez savoir c'est quelque part là):

Être pompette, c'est sentir tourner le monde et en être le roi.

...

Donc voilà, ceci est mon excuse pour boire de temps en temps en soirée...puis comme l'a dit quelqu'un d'autre :

Boire ou conduire il faut choisir !

...

Et comme je n'ai pas encore le permis...^^